admin
23 Ocak 2023, 16:18
Marie-Thérèse, ma grande s?ur de 7 ans mon aînée, m'a toujours fait bander! J'avoue ne plus compter toutes les branlettes faites en pensant à elle, hier comme aujourd'hui, et ce bien que je sois en couple et que ma compagne me comble totalement!
Il faut dire que ma s?ur a tout pour plaire... pour ME plaire, en tout cas! Car je conçois tout à fait que les goûts puissent varier d'un individu à l'autre. Moi, je suis dingue des gros seins! Et de ce côté-là, vous verrez que Marie-Thérèse a tout ce qu'il faut! J'aime aussi le fait qu'elle soit mon aînée. Toutes les femmes qui ont partagé ma vie ont toujours été plus âgées que moi... cela doit tenir à un vieux complexe d'?dipe refoulé... Car ce qui m'excite par-dessus tout, c'est ce lien familial qui nous unit. L'Interdit a une saveur toute particulière à laquelle je suis incapable de résister... pour toutes ces raisons, Marie-Thérèse est pour moi le fantasme absolu, le tabou ultime!
N'attendez aucune objectivité de ma part! Ma soeur me rend dingue! Dingue de ses formes, de sa poitrine hors norme aux lignes épaisses de son con, j'aime totalement cette femme toute en hanches et bouche! Je pourrais passer mes jours et mes nuits à consommer sa chair, à jouir de son corps, fiévreusement, furieusement, sans aucune modération!
Marie-Thérèse a des seins de nourrice, plus larges que son buste, terriblement lourds et flanqués de belles aréoles brunes se déployant généreusement autour de bons gros tétons foncés pointant comme deux Everest quand l'excitation les gagne! Elle oscille entre 100 et 105 pour le tour de poitrine... bonnet E!
Son corps est dessiné pour le plaisir, les excès de vie, et dans mes rêves les plus secrets, les excès de vice! Une merveilleuse récompense pour les mains et les yeux de ceux qui auront eu la chance incroyable de pouvoir baiser cette reproductrice! Oh oui! Ma soeur est une invitation perpétuelle à la sexualité la plus effrénée et à la reproduction de la race!
Elle fait très attention à sa ligne parce qu'on est du genre bien charpenté dans la famille. Sans être grosse, elle est, vous l'aurez compris, toute en courbes. Le moindre écart a chez-nous une fâcheuse tendance à se fixer irrémédiablement de manière disgracieuse aux endroits les moins avantageux! Alors ma soeur contrôle ses mensurations 2 fois par mois, puis elle les reporte dans un petit calepin. Elle tient à rester une femme plantureuse, avec des formes, certes, mais harmonieusement réparties! La dernière fois que je suis tombé sur son calepin (elle l'avait sorti chez ma mère et j'ai profité d'un moment où elles étaient toutes les deux à la cuisine pour y jeter un coup d'?il indiscret), voilà ce que j'ai pu y lire :
Relevé du 22 août
Cuisse : 59
Bras : 32
Ventre : 64
Hanche : 105
Poitrine : 105
Poids : 72,6
Je me suis mis à bander en lisant ces chiffres... chaque centimètre prenait chair dans mon esprit, et je pouvais la voir nue, là devant moi, rien qu'en fermant les yeux! Quand ma mère et ma s?ur sont revenues dans la salle à manger, j'étais en train de me masturber dans le salon, juste à côté! J'ai juste eu le temps de cacher ma queue sous un des coussins du canapé! Elles ont discuté sans prêter attention à moi, alors j'ai continué de me toucher en regardant Marie-Thérèse... Ce jour là elle portait une tunique légère et courte, dévoilant amplement ses cuisses quand elle était assise, et collant bien à sa poitrine... je n'en demandais pas plus! Je l'ai matée ouvertement, essayant de minimiser les mouvements de ma main sous le coussin... mon regard allait de ses cuisses pleines à sa bouche pulpeuse, ses seins... Je me suis surpris à mater notre mère aussi, assise juste en face de ma s?ur... Marie-Thérèse avait hérité de sa poitrine, c'est clair! De ses hanches aussi... de ses lèvres...
Ce fut trop pour moi!
Trop de mamelles au mètre carré!
Sentant l'explosion venir, j'ai discrètement ramené ma queue dans mon caleçon et j'ai éjaculé longuement!
J'en avais plein le ventre!
Mais je me sentais si bien...
L'air de rien, j'ai réajusté mon pantalon de survêtement en me levant et je suis allé les rejoindre!
Ma s?ur m'a regardé bizarrement après ça... faut dire que je me suis assis juste à côté d'elle et qu'elle devait sentir, tout comme moi, l'odeur acre de sperme qui s'échappait de mon froc et montait peu à peu jusqu'à nos narines... Cela m'amusait beaucoup de la voir se trémousser sur sa chaise en se demandant probablement si elle sentait bien ce qu'elle sentait!! Oui, soeurette! C'est bien mon sperme qui te chatouille le nez! Comme j'aimerais poser ma main derrière ta tête et la faire descendre lentement sur mon bas ventre... comme j'aimerais te voir lécher toute cette semence éjaculée sur mon ventre et ma toison... Ça y est... je bande!
Mmmmmm Marie-Thérèse... J'ai tellement envie de ton corps voluptueux de quinquagénaire épanouie, de tes mamelles opulentes que l'hérédité et la chimie contraceptive expliquent, et le désir aussi des hommes qui, dans ta jeunesse, se sont relayés pour téter bursa escort (https://www.sokkan.net/) et tripoter copieusement tes incroyables nichons, jour après jour de ton éducation sexuelle, quand tu découvrais le plaisir de sentir leurs couilles pleines battre contre ta vulve humide, apprenant à jouir de leurs bites lourdes et des jets puissants de leurs éjaculations au plus profond de ton ventre chaud. Car avec le corps que tu as, j'imagine qu'ils ont été plus d'un à vouloir te baiser!
Ma soeur m'a toujours fait penser à Veronica Brazil, cette actrice black de X des 80's... mais Veronica dans ses dernières années, quand elle avait pris un peu de poids et qu'elle avait subit ses augmentations mammaires finales... sa parfaite réplique!! D'ailleurs, chaque fois que je mate un de ses films, je ne vois que ma s?ur et je me branle comme un fou!!
Jusqu'à l'âge de 19 ans, Marie et moi avons partagé la même chambre. Cela peut sembler bizarre d'autant plus qu'elle a 7 ans de plus que moi! Mais les choses étaient ainsi... Nous avons grandi en banlieues, déménageant souvent, de quartier en quartier... Jusqu'au jour où mes parents ont fait l'acquisition d'une petite maison... tellement petite que nous devions être 2 par chambre! La logique aurait voulu que Marie-Thérèse dorme avec ma s?ur Corinne, et moi avec mon frère Christophe... Surtout que mes s?urs n'avaient qu'un an d'écart entre elles, idem entre mon frère et moi. Mais voilà... mon frère et moi nous détestions et passions notre temps à nous foutre sur la gueule dès que nous étions ensemble! Comme les frangines! Alors pour régler ce problème et apporter la paix dans notre famille, nos parents avaient fait ce choix de nous regrouper par affinités.
Et j'en avais beaucoup avec Marie-Thérèse! Tout comme Christophe en avait avec Corinne... les 2 mêmes têtes de pioche! Marie-Thérèse aurait pu être ma jumelle... c'est drôle comme on peut se sentir proche des gens parfois... une parfaite osmose, une unité d'esprit... comme si les 2 moitiés d'une même âme avaient été séparées pour recréer 2 entités distinctes! J'avais la même naïveté que Marie-Thérèse, la même lenteur dans la voix... une certaine douceur... les mêmes goûts artistiques aussi, les mêmes aptitudes scolaires...
On nous aurait donné le bon dieu sans confession! Mais à l'intérieur, cela bouillonnait! Là où je savais mon goût immodéré pour la chose sexuelle, je devinais que pour ma s?ur il en allait de même! Oh elle ne s'affichait jamais, ne s'habillait pas de manière provocante ni ne draguait tout ce qui bouge! Mais je percevais très bien ce qu'elle était vraiment, ce qu'elle cachait de sa personnalité... Il y avait ces petits détails qui ne mentaient pas : ses lectures (majoritairement à caractère érotique), son regard de braise quand une scène osée survenait dans un film, des remarques qu'elles faisaient... Pris un par un, ces signes ne signifiaient pas grand-chose. Mais quand on assemblait le puzzle, alors tout devenait clair! Je me souviens d'une fois où nous avions acheté ensemble un microscope pour le Noël d'un filleul que nous avions en commun, Marie et moi... J'avais voulu le tester avant de le lui offrir et figurez-vous que le premier truc que ma s?ur Marie-Thérèse me suggéra ce jour là, ce fut de me masturber pour observer mes spermatozoïdes au grossissement maximum!! Avouez que ce n'est banal dans la bouche de sa grande s?ur! Tout comme sa demande d'observer tout ça avec moi, « par curiosité pour la biologie et pour être sûr qu'il fonctionnait parfaitement »!! Ce sont ses mots! Je me demande comment tout cela aurait fini si j'avais accepté... sur le coup j'avais juste éclaté de rire en lui répondant que je me voyais mal me branler devant un microscope!
J'aimais sa naïveté, son innocence teintée de vice m'excitait au plus haut point! Et ses formes bien sûr! Pour évacuer tout ce désir que j'accumulais jour après jour, je me suis mis au dessin. J'ai eu le déclic en achetant une BD porno chez mon bouquiniste. J'ai commencé mon apprentissage de dessinateur en reproduisant le matériel que j'avais acheté, puis rapidement j'ai pris de l'assurance et j'ai développé mon propre style et mes propres histoires. J'avais du talent! Après quelques mois, je pouvais faire le portrait de n'importe qui! Le jour, je faisais d'innocents et gentils croquis que j'offrais à ma mère, mes potes ou mes s?urs... mais la nuit... la nuit je passais au porno! Quand toute la maison dormait, et ma s?ur Marie-Thérèse surtout, je m'installais au bureau près de mon lit, j'allumais ma lampe de poche et je sortais mes crayons et mes feuilles Canson... Je regardais quelques instants ma s?ur endormie, je la déshabillais du regard d'abord, puis artistiquement! Et là je m'éclatais! Le plus souvent, je contais l'histoire d'un roi fou et débauché qui baisait toutes les femmes de sa Cour! Ce roi avait mes traits, évidemment! Quand il avait fini d'épuiser les vagins des servantes, il passait à sa famille et tringlait tour à tour la reine mère puis ses s?urs les princesses ... Je les épinglais toutes à mon tableau de chasse graphique! Mais me dessiner en bursa escort bayan (https://www.sokkan.net/) train de culbuter Marie-Thérèse était ce qui me procurait le plus de plaisir! Chaque nuit se terminait irrémédiablement par une bonne branlette sous les draps, ma queue dans une main, et mes dessins dans l'autre! Parfois je pouvais éjaculer sans même avoir à me toucher! Rien qu'en couchant sur le papier les rondeurs de ma soeur! Elle dormait si profondément que je ne troublais jamais son sommeil.
Oui, je fantasmais considérablement sur elle! J'ai bien tenté de l'espionner quand elle allait à la salle de bains... Dans cette pièce, jouxtant notre chambre et dont seuls elle et moi avions la jouissance, elle se déshabillait chaque soir pour passer sa robe de nuit, ou bien se douchait... l'?il rivé à la serrure, je me tordais dans tous les sens pour espérer mater un bout de fesse ou de poitrine... mais rien! Jusque là, mes efforts avaient été vains et tout ce que j'avais pu reluquer, c'était le vieux mur décrépi qui faisait face à la porte!
Puis un jour, j'ai reçu le Graal!
Un beau matin d'été de ma 19ème année, la dernière année où ma s?ur et moi faisions chambre commune (quelques mois après, elle quittait définitivement le cocon familial), je me suis levé bien plus tôt qu'elle. Je dormais du côté droit si bien que je tournais le dos à son lit quand je me réveillais. Je ne prêtai pas tout de suite attention à elle. Mais une fois debout, alors que je rassemblais mes fringues éparses au pied de mon lit, j'ai eu un choc! Après toutes ces années passées avec d'elle, à rêver d'elle, à fantasmer sans jamais rien avoir d'elle à me mettre sous la dent, enfin j'étais récompensé! Car ce matin là, j'ai eu droit au plus érotique des réveils!
Marie-Thérèse dormait avec une vieille robe de nuit qu'elle possédait depuis des années, en pilou, blanche à petites fleurs bleues, laissant ses bras nus mais la couvrant jusqu'aux mollets, avec un col rond ras du cou... Pas grand-chose à reluquer de son corps avec ce truc anti-sexe au possible! Sauf qu'elle ne portait jamais rien en dessous, ni soutif, ni culotte! Alors chaque soir, allongé sur mon lit en faisant mine de lire ou de dessiner, j'attendais nerveusement qu'elle ressorte de la salle de bains, parée pour la nuit ; là, du coin de l'?il, je la regardais fiévreusement traverser la pièce et passer devant mon lit! A chacun de ses pas, je voyais ses gros nichons rebondir et gigoter de longues secondes pour mon plus grand plaisir, comme si le haut de son corps était pris de secousses sismiques! Ses seins étaient tellement lourds que le moindre mouvement, aussi imperceptible soit-il, suffisait à les faire se balancer, vers la droite, vers la gauche... quand son pas était plus rapide, ses seins avaient même un mouvement tournant qui venait se greffer à ce mouvement de pendule! Ça me rendait dingue! Et très dur! Je vous conseille de mater une vidéo de Traci Lords, sublime chaudasse et actrice de X des années 80! Ses seins avaient ce même double mouvement incroyable quand elle baisait! Le truc le plus bandant que j'ai jamais vu!
Quelle paire de nibards elle trimballait, la frangine! Chacun de ses passages me filait une gaule d'enfer! L'inspiration pour mes dessins nocturnes aussi!
La chemise de nuit de Marie-Thérèse n'était plus toute jeune : elle avait même fini par se déchirer sous une des aisselles! Ajoutez-y un sommeil agité, beaucoup de retournements et les sollicitations incessantes d'un corps bien rebondi tirant de toutes ses formes généreuses sur ce vieux vêtement fatigué, et ce qui n'était au départ qu'un petit trou devint rapidement une large échancrure!
Les yeux écarquillés, je suis passé de l'autre côté de mon lit où je me suis assis, juste en face de ce trou béant que son bras relevé dévoilait. Ma gorge était sèche et mon c?ur battait la chamade!
J'ai commencé à me caresser par-dessus mon pyjama... j'étais tellement excité par ce cadeau inespéré que ma s?ur m'offrait... totalement envoûté par la beauté sublime de ce que j'avais tant rêvé d'embrasser...
Ce matin là, caressé par les premiers rayons de soleils que les vieilles persiennes aux linteaux de bois disjoints ne parvenaient pas à filtrer, au travers de cette large déchirure apparue sur sa robe de nuit au niveau de son aisselle droite, son sein droit jaillissait, énorme! Entièrement nu à ma vue pour la première fois!
Prisonnier de la maille géante, il ondulait légèrement tel un flamby, au rythme lent de sa respiration. Il s'étalait largement sur son buste mais gardait tout de même un sacré beau volume, preuve de sa grosseur indéniable! Quelle vision! Cela déclencha immédiatement chez-moi une forte érection! Et un désir immense, une seule envie : me masturber et poser la main sur ce sein qui s'offrait à moi de si bon matin!
Allongée sur le dos, Marie-Thérèse dormait d'un sommeil profond tandis que je reluquais l'objet de tous mes fantasmes sous toutes les coutures! J'ai toujours été un fana des gros seins! Là, j'étais servi! Copieusement! Je n'en croyais pas mes yeux... Mais enfin, ce escort bursa (https://www.sokkan.net/) matin là, mes désirs devenaient réalité! J'avais tout un nichon à quelques centimètres de mon nez... de ma main... de ma bouche!
Je bandais comme un âne! Excité comme jamais, je n'ai pas pu résister et je me suis branlé à quelques centimètres du visage de ma s?ur aînée qui dormait toujours... L'épais mamelon brun au garde à vous me rendait fou! Je me pinçais les lèvres et soufflais comme un goret, rêvant de prendre dans ma bouche le délicieux mamelon pour l'enrouler sous ma langue et l'aspirer, le titiller, le sucer... jusqu'à ce qu'il ait fondu dans ma bouche! Comme un bonbon! Je l'aurais bouffé, vraiment! Le plus dur fut de me détourner au moment fatidique pour ne pas lui éjaculer dessus! Très difficile aussi de ne pas poser la main sur cet énorme sein qui m'attirait comme un aimant!
Plus tard dans la journée, à force de cogiter et de n'avoir en tête que ce putain de nichon, je suis passé en mode warrior et j'ai ourdi le stratagème ultime! J'ai pensé qu'en agrandissant encore légèrement ce trou sous l'aisselle, et peut-être même qu'en en faisant un autre sur le côté opposé, j'aurais la chance inouïe, plus qu'improbable je sais, de voir surgir ses 2 lolos le matin suivant!!! Alors j'ai déchiré un peu plus sa robe sous l'aisselle coupable, la droite, et j'ai fait le même accroc du côté gauche! Mais j'avais eu la main un peu trop lourde sans doute... si bien que quand elle passa à la salle de bains comme chaque soir avant d'aller se coucher, elle en ressortit non pas avec le vieux vêtement indélicat qui m'avait tellement excité plus tôt ce matin, mais avec un T-shirt flambant neuf, hyper flashy, à manches longues, et un pantalon de pyjama assorti! Rien que du bien épais et du bien solide, me laissant à jamais inconsolable et condamné à revivre en rêve et en rêve seulement, ce moment inoubliable et composite de ma sexualité future, instant magique où j'aperçus par miracle un des seins magnifiques de ma grande s?ur chérie!
De telles images, j'en ai gardé beaucoup en mémoire... Depuis peu, il y en a certaines dont j'ignore totalement si elles tiennent du rêve ou du souvenir effacé qui resurgirait des années plus tard, comme si des zones éteintes ou en sommeil dans mon cerveau refaisaient surface... des scènes qui tournent et retournent sans cesse dans mon esprit ...
Tout m'est revenu, une nuit.... Dans un rêve qui s'est répété plusieurs nuits d'affilées... et toujours le même rêve, les mêmes images et les mêmes sons! Car des dialogues accompagnaient ces instantanés que je ressassais! Et toujours dans le même ordre! Puis au réveil j'éprouvais un sentiment bizarre, vous savez, quand vous sentez que c'est ancré en vous et que ce n'est pas une simple construction de votre esprit... ces nuits là, je retourne à la dernière année où ma s?ur et moi avons partagé cette chambre... le dernier été de cette dernière année... au jour où je suis devenu bachelier, à 19 ans, avec un an de retard, oui, mais peu importe! J'avais obtenu ce sésame pour une vie estudiantine que j'imaginais très mouvementée!
Cette même 19ème année qui m'avait gratifié de la vision sublime de ce sein droit au galbe cyclopéen... merveilleuse année!
Bref! Mon Bac en poche, j'ai pris une cuite phénoménale pour fêter ça! La première de ma vie! Je ne sais pas comment j'ai pu retrouver mon chemin, mais la soirée terminée, je suis rentré chez-moi et suis allé me coucher sans demander mon reste! J'avais la tête qui tournait... l'estomac aussi!! Aux dernières nouvelles, ma soirée s'était terminée ainsi. Je n'en n'avais pas gardé d'autres souvenirs...
Mais aujourd'hui, je vois la lumière de la chambre s'allumer d'un coup! Et je vois ma s?ur venir près de moi et me parler... je vois les BD que je dessinais la nuit, éparpillées autour de moi et ma s?ur les feuilletant... Elle me dit qu'elle se reconnaît parfaitement dans mes dessins! Elle trouve ses seins très ressemblants! Sa vulve aussi! Elle se demande comment j'ai pu être aussi fidèle dans mes représentations d'elle... et si ça me plait d'être ce roi qui les baise toutes! Et surtout elle! Car Marie-Thérèse apparaît presque à chaque page, dans tous les rôles! Marie-Thérèse était toutes les femmes pour moi, un archétype, la femme dans toute sa puissance sexuelle! Elle et toujours elle, seulement elle, et moi qui la retournait à longueur de pages!!
Et puis c'est le trou noir!
Puis d'autres images arrivent... je la vois se coller à moi et me demander si j'ai déjà touché une fille... elle me traite de puceau, ce que j'étais à l'époque! Oh oui!! Un bon gros puceau qui s'astiquait la tige et fantasmait sur tout ce qui bougeait autour de lui sans jamais avoir osé franchir le pas! Elle me dit qu'elle va faire de moi un homme car il est temps d'arrêter la branlette à mon âge! Je l'entends me dire qu'elle m'a espionné plus d'une fois la nuit, faisant semblant de dormir quand je me paluchais... et je crois qu'elle m'avoue lire mes BD en cachette, et que mes dessins et mes séances de branlettes nocturnes l'excitent beaucoup! Je vois sa main venir sur mon pubis et me masser la verge... son autre main a glissé sous son T-shirt et caresse ses seins... Je sens que je bande d'un coup! Je la vois me sourire et me dire qu'elle finit toujours par se doigter après avoir lue mes BD...
Il faut dire que ma s?ur a tout pour plaire... pour ME plaire, en tout cas! Car je conçois tout à fait que les goûts puissent varier d'un individu à l'autre. Moi, je suis dingue des gros seins! Et de ce côté-là, vous verrez que Marie-Thérèse a tout ce qu'il faut! J'aime aussi le fait qu'elle soit mon aînée. Toutes les femmes qui ont partagé ma vie ont toujours été plus âgées que moi... cela doit tenir à un vieux complexe d'?dipe refoulé... Car ce qui m'excite par-dessus tout, c'est ce lien familial qui nous unit. L'Interdit a une saveur toute particulière à laquelle je suis incapable de résister... pour toutes ces raisons, Marie-Thérèse est pour moi le fantasme absolu, le tabou ultime!
N'attendez aucune objectivité de ma part! Ma soeur me rend dingue! Dingue de ses formes, de sa poitrine hors norme aux lignes épaisses de son con, j'aime totalement cette femme toute en hanches et bouche! Je pourrais passer mes jours et mes nuits à consommer sa chair, à jouir de son corps, fiévreusement, furieusement, sans aucune modération!
Marie-Thérèse a des seins de nourrice, plus larges que son buste, terriblement lourds et flanqués de belles aréoles brunes se déployant généreusement autour de bons gros tétons foncés pointant comme deux Everest quand l'excitation les gagne! Elle oscille entre 100 et 105 pour le tour de poitrine... bonnet E!
Son corps est dessiné pour le plaisir, les excès de vie, et dans mes rêves les plus secrets, les excès de vice! Une merveilleuse récompense pour les mains et les yeux de ceux qui auront eu la chance incroyable de pouvoir baiser cette reproductrice! Oh oui! Ma soeur est une invitation perpétuelle à la sexualité la plus effrénée et à la reproduction de la race!
Elle fait très attention à sa ligne parce qu'on est du genre bien charpenté dans la famille. Sans être grosse, elle est, vous l'aurez compris, toute en courbes. Le moindre écart a chez-nous une fâcheuse tendance à se fixer irrémédiablement de manière disgracieuse aux endroits les moins avantageux! Alors ma soeur contrôle ses mensurations 2 fois par mois, puis elle les reporte dans un petit calepin. Elle tient à rester une femme plantureuse, avec des formes, certes, mais harmonieusement réparties! La dernière fois que je suis tombé sur son calepin (elle l'avait sorti chez ma mère et j'ai profité d'un moment où elles étaient toutes les deux à la cuisine pour y jeter un coup d'?il indiscret), voilà ce que j'ai pu y lire :
Relevé du 22 août
Cuisse : 59
Bras : 32
Ventre : 64
Hanche : 105
Poitrine : 105
Poids : 72,6
Je me suis mis à bander en lisant ces chiffres... chaque centimètre prenait chair dans mon esprit, et je pouvais la voir nue, là devant moi, rien qu'en fermant les yeux! Quand ma mère et ma s?ur sont revenues dans la salle à manger, j'étais en train de me masturber dans le salon, juste à côté! J'ai juste eu le temps de cacher ma queue sous un des coussins du canapé! Elles ont discuté sans prêter attention à moi, alors j'ai continué de me toucher en regardant Marie-Thérèse... Ce jour là elle portait une tunique légère et courte, dévoilant amplement ses cuisses quand elle était assise, et collant bien à sa poitrine... je n'en demandais pas plus! Je l'ai matée ouvertement, essayant de minimiser les mouvements de ma main sous le coussin... mon regard allait de ses cuisses pleines à sa bouche pulpeuse, ses seins... Je me suis surpris à mater notre mère aussi, assise juste en face de ma s?ur... Marie-Thérèse avait hérité de sa poitrine, c'est clair! De ses hanches aussi... de ses lèvres...
Ce fut trop pour moi!
Trop de mamelles au mètre carré!
Sentant l'explosion venir, j'ai discrètement ramené ma queue dans mon caleçon et j'ai éjaculé longuement!
J'en avais plein le ventre!
Mais je me sentais si bien...
L'air de rien, j'ai réajusté mon pantalon de survêtement en me levant et je suis allé les rejoindre!
Ma s?ur m'a regardé bizarrement après ça... faut dire que je me suis assis juste à côté d'elle et qu'elle devait sentir, tout comme moi, l'odeur acre de sperme qui s'échappait de mon froc et montait peu à peu jusqu'à nos narines... Cela m'amusait beaucoup de la voir se trémousser sur sa chaise en se demandant probablement si elle sentait bien ce qu'elle sentait!! Oui, soeurette! C'est bien mon sperme qui te chatouille le nez! Comme j'aimerais poser ma main derrière ta tête et la faire descendre lentement sur mon bas ventre... comme j'aimerais te voir lécher toute cette semence éjaculée sur mon ventre et ma toison... Ça y est... je bande!
Mmmmmm Marie-Thérèse... J'ai tellement envie de ton corps voluptueux de quinquagénaire épanouie, de tes mamelles opulentes que l'hérédité et la chimie contraceptive expliquent, et le désir aussi des hommes qui, dans ta jeunesse, se sont relayés pour téter bursa escort (https://www.sokkan.net/) et tripoter copieusement tes incroyables nichons, jour après jour de ton éducation sexuelle, quand tu découvrais le plaisir de sentir leurs couilles pleines battre contre ta vulve humide, apprenant à jouir de leurs bites lourdes et des jets puissants de leurs éjaculations au plus profond de ton ventre chaud. Car avec le corps que tu as, j'imagine qu'ils ont été plus d'un à vouloir te baiser!
Ma soeur m'a toujours fait penser à Veronica Brazil, cette actrice black de X des 80's... mais Veronica dans ses dernières années, quand elle avait pris un peu de poids et qu'elle avait subit ses augmentations mammaires finales... sa parfaite réplique!! D'ailleurs, chaque fois que je mate un de ses films, je ne vois que ma s?ur et je me branle comme un fou!!
Jusqu'à l'âge de 19 ans, Marie et moi avons partagé la même chambre. Cela peut sembler bizarre d'autant plus qu'elle a 7 ans de plus que moi! Mais les choses étaient ainsi... Nous avons grandi en banlieues, déménageant souvent, de quartier en quartier... Jusqu'au jour où mes parents ont fait l'acquisition d'une petite maison... tellement petite que nous devions être 2 par chambre! La logique aurait voulu que Marie-Thérèse dorme avec ma s?ur Corinne, et moi avec mon frère Christophe... Surtout que mes s?urs n'avaient qu'un an d'écart entre elles, idem entre mon frère et moi. Mais voilà... mon frère et moi nous détestions et passions notre temps à nous foutre sur la gueule dès que nous étions ensemble! Comme les frangines! Alors pour régler ce problème et apporter la paix dans notre famille, nos parents avaient fait ce choix de nous regrouper par affinités.
Et j'en avais beaucoup avec Marie-Thérèse! Tout comme Christophe en avait avec Corinne... les 2 mêmes têtes de pioche! Marie-Thérèse aurait pu être ma jumelle... c'est drôle comme on peut se sentir proche des gens parfois... une parfaite osmose, une unité d'esprit... comme si les 2 moitiés d'une même âme avaient été séparées pour recréer 2 entités distinctes! J'avais la même naïveté que Marie-Thérèse, la même lenteur dans la voix... une certaine douceur... les mêmes goûts artistiques aussi, les mêmes aptitudes scolaires...
On nous aurait donné le bon dieu sans confession! Mais à l'intérieur, cela bouillonnait! Là où je savais mon goût immodéré pour la chose sexuelle, je devinais que pour ma s?ur il en allait de même! Oh elle ne s'affichait jamais, ne s'habillait pas de manière provocante ni ne draguait tout ce qui bouge! Mais je percevais très bien ce qu'elle était vraiment, ce qu'elle cachait de sa personnalité... Il y avait ces petits détails qui ne mentaient pas : ses lectures (majoritairement à caractère érotique), son regard de braise quand une scène osée survenait dans un film, des remarques qu'elles faisaient... Pris un par un, ces signes ne signifiaient pas grand-chose. Mais quand on assemblait le puzzle, alors tout devenait clair! Je me souviens d'une fois où nous avions acheté ensemble un microscope pour le Noël d'un filleul que nous avions en commun, Marie et moi... J'avais voulu le tester avant de le lui offrir et figurez-vous que le premier truc que ma s?ur Marie-Thérèse me suggéra ce jour là, ce fut de me masturber pour observer mes spermatozoïdes au grossissement maximum!! Avouez que ce n'est banal dans la bouche de sa grande s?ur! Tout comme sa demande d'observer tout ça avec moi, « par curiosité pour la biologie et pour être sûr qu'il fonctionnait parfaitement »!! Ce sont ses mots! Je me demande comment tout cela aurait fini si j'avais accepté... sur le coup j'avais juste éclaté de rire en lui répondant que je me voyais mal me branler devant un microscope!
J'aimais sa naïveté, son innocence teintée de vice m'excitait au plus haut point! Et ses formes bien sûr! Pour évacuer tout ce désir que j'accumulais jour après jour, je me suis mis au dessin. J'ai eu le déclic en achetant une BD porno chez mon bouquiniste. J'ai commencé mon apprentissage de dessinateur en reproduisant le matériel que j'avais acheté, puis rapidement j'ai pris de l'assurance et j'ai développé mon propre style et mes propres histoires. J'avais du talent! Après quelques mois, je pouvais faire le portrait de n'importe qui! Le jour, je faisais d'innocents et gentils croquis que j'offrais à ma mère, mes potes ou mes s?urs... mais la nuit... la nuit je passais au porno! Quand toute la maison dormait, et ma s?ur Marie-Thérèse surtout, je m'installais au bureau près de mon lit, j'allumais ma lampe de poche et je sortais mes crayons et mes feuilles Canson... Je regardais quelques instants ma s?ur endormie, je la déshabillais du regard d'abord, puis artistiquement! Et là je m'éclatais! Le plus souvent, je contais l'histoire d'un roi fou et débauché qui baisait toutes les femmes de sa Cour! Ce roi avait mes traits, évidemment! Quand il avait fini d'épuiser les vagins des servantes, il passait à sa famille et tringlait tour à tour la reine mère puis ses s?urs les princesses ... Je les épinglais toutes à mon tableau de chasse graphique! Mais me dessiner en bursa escort bayan (https://www.sokkan.net/) train de culbuter Marie-Thérèse était ce qui me procurait le plus de plaisir! Chaque nuit se terminait irrémédiablement par une bonne branlette sous les draps, ma queue dans une main, et mes dessins dans l'autre! Parfois je pouvais éjaculer sans même avoir à me toucher! Rien qu'en couchant sur le papier les rondeurs de ma soeur! Elle dormait si profondément que je ne troublais jamais son sommeil.
Oui, je fantasmais considérablement sur elle! J'ai bien tenté de l'espionner quand elle allait à la salle de bains... Dans cette pièce, jouxtant notre chambre et dont seuls elle et moi avions la jouissance, elle se déshabillait chaque soir pour passer sa robe de nuit, ou bien se douchait... l'?il rivé à la serrure, je me tordais dans tous les sens pour espérer mater un bout de fesse ou de poitrine... mais rien! Jusque là, mes efforts avaient été vains et tout ce que j'avais pu reluquer, c'était le vieux mur décrépi qui faisait face à la porte!
Puis un jour, j'ai reçu le Graal!
Un beau matin d'été de ma 19ème année, la dernière année où ma s?ur et moi faisions chambre commune (quelques mois après, elle quittait définitivement le cocon familial), je me suis levé bien plus tôt qu'elle. Je dormais du côté droit si bien que je tournais le dos à son lit quand je me réveillais. Je ne prêtai pas tout de suite attention à elle. Mais une fois debout, alors que je rassemblais mes fringues éparses au pied de mon lit, j'ai eu un choc! Après toutes ces années passées avec d'elle, à rêver d'elle, à fantasmer sans jamais rien avoir d'elle à me mettre sous la dent, enfin j'étais récompensé! Car ce matin là, j'ai eu droit au plus érotique des réveils!
Marie-Thérèse dormait avec une vieille robe de nuit qu'elle possédait depuis des années, en pilou, blanche à petites fleurs bleues, laissant ses bras nus mais la couvrant jusqu'aux mollets, avec un col rond ras du cou... Pas grand-chose à reluquer de son corps avec ce truc anti-sexe au possible! Sauf qu'elle ne portait jamais rien en dessous, ni soutif, ni culotte! Alors chaque soir, allongé sur mon lit en faisant mine de lire ou de dessiner, j'attendais nerveusement qu'elle ressorte de la salle de bains, parée pour la nuit ; là, du coin de l'?il, je la regardais fiévreusement traverser la pièce et passer devant mon lit! A chacun de ses pas, je voyais ses gros nichons rebondir et gigoter de longues secondes pour mon plus grand plaisir, comme si le haut de son corps était pris de secousses sismiques! Ses seins étaient tellement lourds que le moindre mouvement, aussi imperceptible soit-il, suffisait à les faire se balancer, vers la droite, vers la gauche... quand son pas était plus rapide, ses seins avaient même un mouvement tournant qui venait se greffer à ce mouvement de pendule! Ça me rendait dingue! Et très dur! Je vous conseille de mater une vidéo de Traci Lords, sublime chaudasse et actrice de X des années 80! Ses seins avaient ce même double mouvement incroyable quand elle baisait! Le truc le plus bandant que j'ai jamais vu!
Quelle paire de nibards elle trimballait, la frangine! Chacun de ses passages me filait une gaule d'enfer! L'inspiration pour mes dessins nocturnes aussi!
La chemise de nuit de Marie-Thérèse n'était plus toute jeune : elle avait même fini par se déchirer sous une des aisselles! Ajoutez-y un sommeil agité, beaucoup de retournements et les sollicitations incessantes d'un corps bien rebondi tirant de toutes ses formes généreuses sur ce vieux vêtement fatigué, et ce qui n'était au départ qu'un petit trou devint rapidement une large échancrure!
Les yeux écarquillés, je suis passé de l'autre côté de mon lit où je me suis assis, juste en face de ce trou béant que son bras relevé dévoilait. Ma gorge était sèche et mon c?ur battait la chamade!
J'ai commencé à me caresser par-dessus mon pyjama... j'étais tellement excité par ce cadeau inespéré que ma s?ur m'offrait... totalement envoûté par la beauté sublime de ce que j'avais tant rêvé d'embrasser...
Ce matin là, caressé par les premiers rayons de soleils que les vieilles persiennes aux linteaux de bois disjoints ne parvenaient pas à filtrer, au travers de cette large déchirure apparue sur sa robe de nuit au niveau de son aisselle droite, son sein droit jaillissait, énorme! Entièrement nu à ma vue pour la première fois!
Prisonnier de la maille géante, il ondulait légèrement tel un flamby, au rythme lent de sa respiration. Il s'étalait largement sur son buste mais gardait tout de même un sacré beau volume, preuve de sa grosseur indéniable! Quelle vision! Cela déclencha immédiatement chez-moi une forte érection! Et un désir immense, une seule envie : me masturber et poser la main sur ce sein qui s'offrait à moi de si bon matin!
Allongée sur le dos, Marie-Thérèse dormait d'un sommeil profond tandis que je reluquais l'objet de tous mes fantasmes sous toutes les coutures! J'ai toujours été un fana des gros seins! Là, j'étais servi! Copieusement! Je n'en croyais pas mes yeux... Mais enfin, ce escort bursa (https://www.sokkan.net/) matin là, mes désirs devenaient réalité! J'avais tout un nichon à quelques centimètres de mon nez... de ma main... de ma bouche!
Je bandais comme un âne! Excité comme jamais, je n'ai pas pu résister et je me suis branlé à quelques centimètres du visage de ma s?ur aînée qui dormait toujours... L'épais mamelon brun au garde à vous me rendait fou! Je me pinçais les lèvres et soufflais comme un goret, rêvant de prendre dans ma bouche le délicieux mamelon pour l'enrouler sous ma langue et l'aspirer, le titiller, le sucer... jusqu'à ce qu'il ait fondu dans ma bouche! Comme un bonbon! Je l'aurais bouffé, vraiment! Le plus dur fut de me détourner au moment fatidique pour ne pas lui éjaculer dessus! Très difficile aussi de ne pas poser la main sur cet énorme sein qui m'attirait comme un aimant!
Plus tard dans la journée, à force de cogiter et de n'avoir en tête que ce putain de nichon, je suis passé en mode warrior et j'ai ourdi le stratagème ultime! J'ai pensé qu'en agrandissant encore légèrement ce trou sous l'aisselle, et peut-être même qu'en en faisant un autre sur le côté opposé, j'aurais la chance inouïe, plus qu'improbable je sais, de voir surgir ses 2 lolos le matin suivant!!! Alors j'ai déchiré un peu plus sa robe sous l'aisselle coupable, la droite, et j'ai fait le même accroc du côté gauche! Mais j'avais eu la main un peu trop lourde sans doute... si bien que quand elle passa à la salle de bains comme chaque soir avant d'aller se coucher, elle en ressortit non pas avec le vieux vêtement indélicat qui m'avait tellement excité plus tôt ce matin, mais avec un T-shirt flambant neuf, hyper flashy, à manches longues, et un pantalon de pyjama assorti! Rien que du bien épais et du bien solide, me laissant à jamais inconsolable et condamné à revivre en rêve et en rêve seulement, ce moment inoubliable et composite de ma sexualité future, instant magique où j'aperçus par miracle un des seins magnifiques de ma grande s?ur chérie!
De telles images, j'en ai gardé beaucoup en mémoire... Depuis peu, il y en a certaines dont j'ignore totalement si elles tiennent du rêve ou du souvenir effacé qui resurgirait des années plus tard, comme si des zones éteintes ou en sommeil dans mon cerveau refaisaient surface... des scènes qui tournent et retournent sans cesse dans mon esprit ...
Tout m'est revenu, une nuit.... Dans un rêve qui s'est répété plusieurs nuits d'affilées... et toujours le même rêve, les mêmes images et les mêmes sons! Car des dialogues accompagnaient ces instantanés que je ressassais! Et toujours dans le même ordre! Puis au réveil j'éprouvais un sentiment bizarre, vous savez, quand vous sentez que c'est ancré en vous et que ce n'est pas une simple construction de votre esprit... ces nuits là, je retourne à la dernière année où ma s?ur et moi avons partagé cette chambre... le dernier été de cette dernière année... au jour où je suis devenu bachelier, à 19 ans, avec un an de retard, oui, mais peu importe! J'avais obtenu ce sésame pour une vie estudiantine que j'imaginais très mouvementée!
Cette même 19ème année qui m'avait gratifié de la vision sublime de ce sein droit au galbe cyclopéen... merveilleuse année!
Bref! Mon Bac en poche, j'ai pris une cuite phénoménale pour fêter ça! La première de ma vie! Je ne sais pas comment j'ai pu retrouver mon chemin, mais la soirée terminée, je suis rentré chez-moi et suis allé me coucher sans demander mon reste! J'avais la tête qui tournait... l'estomac aussi!! Aux dernières nouvelles, ma soirée s'était terminée ainsi. Je n'en n'avais pas gardé d'autres souvenirs...
Mais aujourd'hui, je vois la lumière de la chambre s'allumer d'un coup! Et je vois ma s?ur venir près de moi et me parler... je vois les BD que je dessinais la nuit, éparpillées autour de moi et ma s?ur les feuilletant... Elle me dit qu'elle se reconnaît parfaitement dans mes dessins! Elle trouve ses seins très ressemblants! Sa vulve aussi! Elle se demande comment j'ai pu être aussi fidèle dans mes représentations d'elle... et si ça me plait d'être ce roi qui les baise toutes! Et surtout elle! Car Marie-Thérèse apparaît presque à chaque page, dans tous les rôles! Marie-Thérèse était toutes les femmes pour moi, un archétype, la femme dans toute sa puissance sexuelle! Elle et toujours elle, seulement elle, et moi qui la retournait à longueur de pages!!
Et puis c'est le trou noir!
Puis d'autres images arrivent... je la vois se coller à moi et me demander si j'ai déjà touché une fille... elle me traite de puceau, ce que j'étais à l'époque! Oh oui!! Un bon gros puceau qui s'astiquait la tige et fantasmait sur tout ce qui bougeait autour de lui sans jamais avoir osé franchir le pas! Elle me dit qu'elle va faire de moi un homme car il est temps d'arrêter la branlette à mon âge! Je l'entends me dire qu'elle m'a espionné plus d'une fois la nuit, faisant semblant de dormir quand je me paluchais... et je crois qu'elle m'avoue lire mes BD en cachette, et que mes dessins et mes séances de branlettes nocturnes l'excitent beaucoup! Je vois sa main venir sur mon pubis et me masser la verge... son autre main a glissé sous son T-shirt et caresse ses seins... Je sens que je bande d'un coup! Je la vois me sourire et me dire qu'elle finit toujours par se doigter après avoir lue mes BD...